PSG : Joao Neves privé de débuts de saison, la suspension fait débat
Alors que le Paris Saint-Germain s’apprête à lancer sa saison avec un choc face à Tottenham en Supercoupe d’Europe, Luis Enrique devra se passer d’un élément clé. Joao Neves, fraîchement arrivé dans la capitale, serait suspendu pour les deux premières rencontres officielles. Une situation qui suscite la controverse.
Une sanction héritée du Mondial des clubs
D’après les informations de Fabrice Hawkins (RMC Sport), le jeune milieu portugais manquera non seulement la Supercoupe face aux Spurs ce mercredi, mais également la première journée de Ligue 1 contre le FC Nantes. La raison : un carton rouge reçu lors de la finale de la Coupe du Monde des Clubs face à Chelsea, après un geste d’humeur envers Marc Cucurella. Un tirage de cheveux qui aurait valu au joueur deux matches de suspension, appliqués dès la reprise des compétitions.
Des versions qui s’opposent
Ce scénario contredit pourtant ce qu’affirmait récemment Le Parisien. Le quotidien francilien avançait qu’une règle spécifique du Mondial des Clubs empêchait toute suspension d’être reportée sur la saison suivante, les compteurs étant remis à zéro. Selon cette interprétation, Joao Neves aurait dû être libre de jouer dès le premier match officiel avec le PSG.
Une préparation adaptée pour le joueur
Conscient de cette possible indisponibilité, le staff parisien aurait déjà adapté le programme physique de Joao Neves afin de l’intégrer progressivement, sans le précipiter dans la compétition. Cette absence forcée pourrait néanmoins retarder son adaptation au rythme imposé par Luis Enrique, surtout dans un début de saison déjà chargé.
Un feuilleton à clarifier
L’incertitude persiste autour de cette sanction : sera-t-elle effectivement appliquée ou bien le joueur sera-t-il disponible plus tôt que prévu ? En attendant une confirmation officielle, Luis Enrique devra composer avec cette donnée, alors que Tottenham arrive lancé par une préparation complète et que le PSG, lui, sort tout juste de vacances.
Quoi qu’il en soit, l’affaire Joao Neves illustre une fois encore la complexité des règlements internationaux… et les zones grises qui peuvent en découler.