Le Paris Saint-Germain n’a laissé aucune chance au Bayer Leverkusen ce mardi soir en Allemagne. Grâce à un collectif huilé, un pressing intense et des individualités en feu, les hommes de Luis Enrique s’imposent 7-2. Retour gagnant pour Ousmane Dembélé, étincelant pour sa reprise après blessure, et Khvicha Kvaratskhelia, toujours aussi létal.
Paris régale encore en Allemagne
C’est devenu une habitude en 2025 : le PSG se sent bien en terre allemande. Après Stuttgart et Munich, c’est Leverkusen qui a subi la loi des Parisiens. Score final : 2-7. Oui, vous avez bien lu. Une démonstration de force dans un match pourtant loin d’être gagné d’avance.
Dès l’entame, Paris met la pression. Et c’est Willian Pacho, surprenant buteur sur corner dès la 7e minute, qui ouvre le bal. Une action bien construite, typique des combinaisons de Luis Enrique. Derrière, Paris maîtrise, sans être ultra dangereux. Mais à chaque offensive, il y a du danger.
Deux erreurs, un penalty, une égalisation… puis l’explosion
Zabarnyi est fautif sur une main, penalty. Grimaldo tape le poteau. Paris respire. Quelques minutes plus tard, nouveau penalty concédé, cette fois converti (1-1). Mais la suite est un rouleau compresseur : Doué (41’), Kvaratskhelia (44’), puis Doué encore (45+3’) envoient le PSG à la pause avec un 4-1 presque irréel.
Le retour explosif de Dembélé
C’est l’image de la soirée : Ousmane Dembélé de retour, balle au pied, dans son style bien à lui. Il entre à la 60e minute, se met immédiatement en jambe, et finit par conclure une action parfaitement menée par Barcola à la 66e minute. Son premier but depuis sa blessure avec les Bleus, et surtout son retour en Ligue des Champions sous son tout nouveau statut de Ballon d’Or.
Kvaratskhelia, toujours aussi tueur
Le Géorgien, décisif contre Barcelone, continue sur sa lancée. Il marque encore, mais surtout, il fluidifie le jeu, libère de l’espace, et semble avoir retrouvé ses sensations. Une vraie satisfaction pour Luis Enrique, qui a dû composer avec une infirmerie pleine ces dernières semaines.
Le coaching de Luis Enrique, encore gagnant
Ce qu’il faut souligner aussi, c’est la gestion du groupe par Luis Enrique. Tous les entrants ont apporté, l’équipe a su accélérer au bon moment, et même les jeunes ont tenu leur rôle. On sent une vraie alchimie entre les joueurs. Le PSG de 2025, c’est une machine collective qui ne cesse de monter en puissance.
Bilan : 9 points, 13 buts marqués, et la manière
Après trois journées, Paris réalise un sans faute en Ligue des Champions. Plus qu’un bilan comptable, c’est surtout une confiance retrouvée, un effectif renforcé, et des cadres qui reviennent en forme. Si le championnat reste serré, la scène européenne semble taillée sur mesure pour cette équipe.
Article rédigé par Manuel Marzullo pour Paris SG News
